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LA MAFIA JUDICIAIRE TOULOUSAINE

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DEFENSE DES CITOYENS
Association enregistrée sous le N°16109470 à la Préfecture d’Antony le 13/01/1998,
Parution au JO du 07/02/1998 N° 2240 Domiciliée au 3 allée de la Puisaye 92160 Antony.

contact@defensedescitoyens.org

 

Président Claude KARSENTI

 

COUR D’APPEL DE PARIS

11ème chambre  correctionnelle SECTION B

Audience du 11.03.2009 à 9h

 

Affaire THEVENOT François

N° 0615908131

DOSSIER 08/01586

 

CONCLUSIONS

Déposées  sur le fondement de l'articles 459  du code de procédure pénale

 

Remises au greffe

1° inscription de faux contre le jugement rendu le 18.01.2008 par la 17ème chambre correctionnelle présidée par M. Jean DRAEHER

 

DU FAUX

 

Art. 646   Si au cours d'une audience d'un tribunal ou d'une cour une pièce de la procédure, ou une pièce produite, est arguée de faux, la juridiction décide, après avoir recueilli les observations du ministère public et des parties, s'il y a lieu ou non de surseoir jusqu'à ce qu'il ait été prononcé sur le faux par la juridiction compétente.

 

Si l'action publique est éteinte ou ne peut être exercée du chef de faux, et s'il n'apparaît pas que celui qui a produit la pièce ait fait sciemment usage d'un faux, le tribunal ou la cour saisi de l'action principale statue incidemment sur le caractère de la pièce prétendue entachée de faux. — Pr. pén. C. 754.

 

La cour prendra acte que le jugement rendu le 18.01.2008 par  la 17ème chambre correctionnelle est argué de faux par nous.

 

Ce jugement indique faussement une procédure d’audience tronquée pour les besoins de la cause par corporatisme déviant et, au prétexte que le Sieur THEVENOT François, délégué du Syndicat USM, s’est rendu coupable, avec son épouse, de graves faits visés dans un rapport de l’ IGSJ qui a conduit la radiation du juge RENARD et sa mutation de NICE à TOULOUSE  la ville ROSE où il a sévi encore.

 

En effet contrairement à ce qu’elle indique cette procédure d’audience les faits sont tous autres :

 

·        Articles 226.10 et suivants : De la dénonciation calomnieuse

 

·        Art. 412-3. - Constitue un mouvement insurrectionnel toute violence collective de nature à mettre en péril les institutions de la République ou à porter atteinte à l'intégrité du territoire national

 

·        Art. 431-1. - Le fait d'entraver, d'une manière concertée et à l'aide de menaces, l'exercice de la liberté d'expression, du travail, d'association, de réunion ou de manifestation est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 € d'amende.

 

·        Art. 431-2. - Les personnes physiques coupables de l'une des infractions prévues par l'article 431-1 encourent également les peines complémentaires suivantes :

1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille, suivant les modalités prévues par l'article 131-26;

2° L'interdiction, suivant les modalités prévues par l'article 131-27, d'exercer une fonction publique ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise;

 

·        Attendu que les articles 432-1 et 432-2 du code pénal définissent l’infraction qualifiée délit et punie de dix ans d’emprisonnement « abus d’autorité dirigé contre l’administration suivi d’effet » le fait par une personne dépositaire de l’autorité publique, agissant dans l’exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à l’exécution de la loi

 

Pour avoir :

 

J.O n° 152 du 2 juillet 2002 page 11376
texte n° 19

Décrets, arrêtés, circulaires
 Ministère de la justice

Décret du 28 juin 2002 portant nomination de magistrats

Par décret du Président de la République en date du 28 juin 2002, vu l'avis du Conseil supérieur de la magistrature :

Sont nommés :

Tribunal de grande instance de Toulouse

 

M. François THEVENOT, substitut du procureur de la République près le tribunal de grande instance de Nice

 

M. THEVENOT François a été muté le 28.06.2002 après avoir décrié la chronique au TGI de Nice (Muté à Toulouse dans l'intérêt des services )

 

 

M. THEVENOT François est à l'origine de l'incarcération de notre vice président André LABORIE détenu arbitrairement à la maison d'arrêt de Seysses depuis le 15.02.2006 où il a été jugé illégalement, en comparution immédiate, par la 5ème chambre correctionnelle du TGI de Toulouse et condamné à 2 années de prison ferme après une garde à vue et une mise en détention en vue de le maintenir en prison après jugement.

 

Les faits reprochés à M. LABORIE sont les suivants:

 

Ø     Fraude en vue de l'obtention d'une allocation de RMI, "FAIT CONTESTE"

Ø     Exercice illégal de la profession d'avocat,"FAIT CONTESTE"

Ø     Faux altération frauduleuse de la vérité dans un écrit du 21.03.2005 au 27.01.2006,"FAIT CONTESTE"

Ø     Outrage à une personne dépositaire de l'autorité publique le 05.10.2005."FAIT CONTESTE"

 

M. LABORIE a fait appel d'un jugement qu'il estime illégal puisque, déjà,  avant ce jugement il avait déposé une requête en suspicion légitime.

 

M. THEVENOT François s'est fait remarqué

 

Dans L'AFFAIRE KAMAL et L'EXISTENCE du RESEAU de PEDOPHILIE NICOIS EN LIAISON AVEC LA FRANC MACONNERIE ET LE JUGE RENARD

 

Par de graves manquements à la déontologie judiciaire et qui mériterait de connaître des poursuites pénales et disciplinaires  cités  dans un RAPPORT de l' Inspection Générale des Services Judiciaires

 

M. Thévenot a manqué de délicatesse, voire de loyauté, tant à l'égard de celle-ci qu'à l'égard de tous les magistrats du tribunal, au premier rang desquels, son supérieur hiérarchique.

Ce point devait d'ailleurs être plusieurs fois souligné par le procureur général Gabriel BESTARD qui, attirant l'attention de la chancellerie, notamment dans un rapport du 26 octobre 1999, sur les conséquences qu'avait eues l'attitude de M. Thévenot, non seulement au sein de la juridiction mais aussi sur l'image et la réputation de celle-ci, suggérait l'éventualité d'une action disciplinaire ou "pour le moins", une mutation "dans l'intérêt du service''.

 

Devant la défense énergique de M. LABORIE, le substitut THEVENOT, "Ces magistrats qui tuent la justice", conscient de sa forfaiture et de notre position indéfectible à son endroit, aurait porté plainte avec constitution de partie civile contre nous , oubliant soudainement l'inexistence du juge d'instruction, pour des délits de dénonciation calomnieuses et menaces de mort après avoir visité notre site www.defensedescitoyens.org et remarqué qu'il avait été mis en berne pour cause d'Outreau pendant 15 jours avant même que M. LABORIE ne soit incarcéré et que nous connaissions de ces exactions passées cachées par l'affaire du juge RENARD.

 

La présence d'un cercueil (qu'il a pris manifestement pour lui) lui a donné des idées pour tenter de dissoudre notre parti Politique comme il l'a annoncé publiquement à l'audience du 15.02.2006  où était jugé M. LABORIE et c'est pourquoi il me posait la question des notes d'audience il savait qu'il était démasqué avec ses complices de la juridiction de Nanterre et Versailles.

 

Comme si le fait de mettre d'une caricature avec la présence d'un cercueil, d'ailleurs largement usité dans l'affaire du CPE peut représenter pour lui une menace de mort …

 

Ce qui a valu la présente citation qu’il nous a été impossible de lui délivrer par corporatisme déviant d’un président de chambre des huissiers le véreux CARSALADE et le non moins délinquant procureur général de la cour d’appel de Toulouse Patrice DAVOST tous deux cités par nous.

 

S’agissant de Monsieur Claude CARSALADE :

 

Attendu que, par courrier et télécopie en date du 13 juin 2006 (copie jointe), adressé à Maître Olivier MALAVIALE, Huissier de Justice, en réponse au sien (copie jointe) le sollicitant d’un avis concernant sa réquisition par « Défense des Citoyens » pour l’instrumentation d’une citation directe dirigée contre Monsieur Francis THEVENOT, vice-procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Toulouse, Monsieur Claude CARSALADE a, dans l’exercice de ses fonctions de Président de la Chambre départementale des Huissiers de Justice de la Haute-Garonne, expressément demandé à Maître Olivier MALAVIALE de ne pas instrumenter cette citation directe, cela :

 

Ÿ        d’une part, sur le fondement de la déontologie et de l’article 2 de l’ordonnance du 2 novembre 1945, au motif que, selon lui, cette citation directe comporterait des propos outrageants envers ce magistrat ;

 

Ÿ        et d’autre part, en indiquant à Maître Olivier MALAVIALE en assumer l‘entière responsabilité en ces mots : « j’en assume l’entière responsabilité » ;

 

Que Maître Olivier MALAVIALE a refusé d’instrumenter cette citation directe et continue de refuser d’instrumenter cette citation directe en opposant à « Défense des Citoyens » la position de Monsieur Claude CARSALADE en une copie du courrier en faisant état ;

 

Que, dès avoir ainsi pris connaissance de la position de Monsieur Claude CARSALADE, « Défense des Citoyens » a adressé à Monsieur Claude CARSALADE un courrier (copie jointe) lui demandant de la revoir sans délai, courrier reprenant les éléments de droit, figurant au point précédent (pages n° 3 et 4), rapportant le caractère manifestement délictuel de son commandement donné à Maître Olivier MALAVIALE de ne pas instrumenter cette citation directe.

 

Et que Monsieur Claude CARSALADE a maintenu et continue de maintenir sa position ;

 

Dès lors, sont caractérisés les éléments matériel et intellectuel du délit d’abus d’autorité dirigé contre l’administration suivi d’effet, infraction, dont la consommation perdure en flagrance, consommé sur le territoire nationale et à une date non couverte par la prescription, en tant qu’auteur par Maître Olivier MALAVIALE, et en tant que complice, par ordre, abus d’autorité, promesse et instructions données pour la commettre, et par aide ou assistance, par Monsieur Claude CARSALADE ;

 

 

Et s’agissant de Monsieur DAVOST Patrice:

 

Attendu qu’alors que, par le courrier (copie jointe) par lequel, lui adressant copie du courrier supportant le refus de Maître Olivier MALAVIALE et du courrier de Monsieur Claude CARSALADE, « Défense des Citoyens » l’a informé du refus délictuel de Maître Olivier MALAVIALE et de la position tout autant délictuelle de Monsieur Claude CARSALADE,  Monsieur DAVOST Patrice a acquis, dans l’exercice de ses fonctions de Procureur Général près la Cour d’appel de Toulouse, la connaissance de l’abus d’autorité dirigé contre l’administration consommé en tant qu’auteur Maître Olivier MALAVIALE et en tant que complice par Monsieur Claude CARSALADE, Monsieur

 

Ÿ        ni n’est intervenu auprès de ces derniers pour qu’ils revoient leur position, ce qui a permis que cet abus d’autorité soit suivi d’effet ;

 

Ÿ        ni n’a fait en sorte qu’un terme soit mis à la consommation de cet infraction, ce qui a pour conséquence directe que celle-ci perdure en flagrance, ainsi que l’atteinte que celle-ci porte à l’ordre public, cela avec, dès lors, pour autre conséquence directe, que s’en trouve alourdi le préjudice direct, certain et immédiat que sa consommation porte à la partie civile poursuivante lésée par le refus d‘instrumenter, à savoir « Défense des Citoyens » ;

 

Dès lors sont caractérisés les éléments matériel et intellectuel des deux délits d’abus d’autorité dirigé contre l’administration suivi d’effet, infractions, dont la consommation perdure en flagrance, consommés sur le territoire national et à une date non couverte par la prescription par Monsieur DAVOST Patrice, l’un en tant qu’auteur, l’autre en tant que complice, par aide ou assistance, et par ordre, abus d’autorité, promesse ou don, ou instructions pour la commettre, cette seconde infraction étant celle consommée en tant qu’auteur par Maître Olivier MALAVIALE et en tant que complice par Monsieur Claude CARSALADE, la faillite de Monsieur DAVOST ne pouvant être que considérée comme coupable car empreinte d’une collusion manifeste eu égard au fait que la citation directe dont il tolère ainsi le refus délictuel de l’instrumentation est dirigée contre son vice-procureur ;

 

Et pourtant il en a connu des magistrats pédophiles le DAVOST notamment de l’affaire JOUBREL ou CHENET/

 

« Dans son réquisitoire, le représentant de la chancellerie Patrice Davost, balaie ces explications. Il rappelle un épisode peu glorieux de la carrière du magistrat Philippe C. Entre 1989 et 1992. Juge pour enfants à Tours, il pratiquait d'étranges fouilles à corps, décrites par des enfants, des collègues, des greffières... Soi-disant pour rechercher drogue ou objets volés, en se déclarant couvert par le code de procédure pénale. «Comment pourrait-il vous convaincre qu'il croyait de telles pratiques autorisées ? Que dire du processus mental qui le conduit à un déshabillage partiel ou intégral de mineurs dans les locaux d'archives du tribunal ?» interroge le représentant de la chancellerie. Après un avertissement, Philippe Chenet se voit alors prié de demander sa mutation. Il passe à Créteil puis Arras, hors des tribunaux pour enfants. Mais comble de tout, continue l’encadrement de colonies de vacances. Patrice Davost souligne l'étrangeté de sa réaction, ce samedi de 1994 : «Il traite les enfants de menteurs et n'alerte personne.» Pour lui, il n'y a pas de place pour le doute, et il réclame la révocation du magistrat. Décision le 30 avril… »

 

Mais pas pour THEVENOT !

 

Alors pour en revenir au faux qui nous préoccupe, la réalité est tout autre puisqu’à l’audience de la 17ème chambre correctionnelle du 22.06.2006, nous avons demandé le renvoi afin :

 

 

Ø     Pour le tribunal, pour une bonne administration de la justice et la manifestation de la vérité, de prendre toutes les mesures pour qu'il soit délivrer la citation au Substitut François THEVENOT par l'intermédiaire du  Procureur de la République ou  du Procureur Général de Toulouse chargé par l'article 35 du code de procédure pénale dans le cadre de ses attributions de veiller à l'application de la loi pénale et par l'article 37 qui lui donne autorité sur tous les officiers du ministère public du ressort de la cour d'appel.

 

Ø     Qu'un procès public de M. THEVENOT François soit rendu possible alors même que tout Avait  été mis en œuvre, par le CSM, pour qu'il échappe aux poursuites à la suite des graves délits commis par lui et son épouse ,dans une affaire de pédophilie liée à l'affaire KAMAL,  pour que la fille d'un avocat à la cour de cassation, décédé étrangement et de mort violente,  impliquée dans cette affaire échappe aux poursuites et qu'il a porté un grave discrédit sur la juridiction de Nice comme l'atteste le rapport de l'inspection des services judiciaires en notre possession qui rapporte les sanctions demandées à son encontre par M. BESTARD Gabriel Procureur Général.

 

D'autant plus qu'il a récidivé sur Toulouse puisqu'il est à l'origine de l'incarcération de notre vice président sur la base de faux et usages de faux  couverts par la cour d'appel de Toulouse dont tous les magistrats ont été mis en cause par M. BOURRAGUE  dans un entretien au MONDE le 22.10.2003.

 

A cette audience, nous avons demandé que devant les difficultés rencontrées, le Ministère publique soit désigné pour délivrer la citation. Celui-ci n’a pas fait d’observation déclarant : « je ne me prononce pas, le tribunal n’est pas saisi ».

 

Le tribunal, après en avoir délibéré, décide de renvoyer l’affaire, invite le représentant du Ministère Public à faire toute diligence auprès du Parquet de Toulouse afin que la citation puisse être délivrée tel qu’il apparaît sur les notes d’audience du 22.06.2006.

 

A l’audience du 12.10.2006, la situation n’avait pas évoluée alors que le 09.10.2006, le chef du bureau du groupement des huissiers audienciers près le TGI de Paris nous écrivait que Le président de la chambre Départementale des huissiers de justice de Haute Garonne refuser de signifier cette citation.

 

Par jugement du 16.11.2006, la 17ème chambre correctionnelle, présidée par Mme SAUTHERAUD, jugée que le défaut de délivrance de la citation à THEVENOT n’est pas de notre responsabilité et invite de nouveau, par jugement, le procureur de la république de Paris à transmettre au procureur général près la cour d’appel de Toulouse à toutes fins.

 

Ce jugement ne sera frappé d’aucun appel.

 

De nombreuses relances infructueuses sont communiquées au procureur de la république à effet de délivrer la citation pour que le tribunal soit saisi pour verser la consignation fixée.

 

A l’audience du 21.09.2007, les mêmes demandes sont réitérées au tribunal présidé cette fois-ci par Jean DRAEHER visé avec THEVENOT par une plainte CPC du 10.11.2008. Ce jugement sera frappé d’appel avec requête 507-508 que vous rejetterez M. CASTEL …et frappé d’ opposition par  APSN partie civile depuis le 15.08.2007.

 

L’affaire est renvoyée à l’audience du 12.12.207 présidée par M. DRAEHER à chaque fois qu’il y a crapulerie.

 

C’est ainsi que le jugement rendu le 18.01.2008 est une véritable escroquerie  en ce que, pour évincer les mesures prises aux audiences précédentes, à savoir à charge pour le parquet de délivrer notre citation à l’endroit de THEVENOT, le tribunal, au prétexte de la mutation de THEVENOT sur Lyon nous contraint à délivrer nous-mêmes cette citation bis répéta et à grands frais indignes d’une démocratie pour nous évincer et ne pas nous permettre la saisine du tribunal ce qui est tout simplement crapuleux et indigne.

 

Le tribunal se déclarera non saisi alors que lui-même a fixé une consignation revenant à la fois sur sa saisine et sur ses décisions pour sauver le collègue délinquant THEVENOT.

 

La cour déclarera ce jugement du 18.01.2007 comme faux.

 

 

2°Demande d'acte complémentaire article 463 du CPP pour

une expertise psychiatrique de MM THEVENOT DAVOST MARIN DRAEHER

 

La France , si elle était une véritable Démocratie, sa justice en serait le PIVOT mais il en est malheureusement tout autrement puisqu'elle est entre les mains d'une oligarchie réunie en association de malfaiteurs.

 

 

1.     Attendu que les faits reprochés  au prévenu, un fonctionnaire  qui SE  PLACE AU-DESSUS DES LOIS  , utilisant les prérogatives de sa fonction pour se mettre hors d'atteinte de la justice en organisant les conditions de sa soustraction à la justice par instruction donnée aux huissiers placés sous son autorité départementale afin qu'il ne lui soit pas délivrée notre citation, sont d'une gravité extrême s'agissant d'une récidive toujours impunie.

 

2.     Attendu que THEVENOT est impliqué dans une affaire de pédophilie avec son épouse objet d'un rapport de l' IGSJ commandé par le Garde des Sceaux le 29.06.2001,

3.     Attendu que DEFENSE DES CITOYENS s’est constituée partie civile dans ce dossier de pédophilie près le Doyen du juge d'instruction du TGI de Paris, dossier instruction 0/08/739 n° 08.315.2301/6 afin que cette affaire de pédophilie  ait une réponse juridique qui ne soit pas celle attendue par M. THEVENOT  qui espère une prescription.

 

4.     Attendu que M. THEVENOT est franc-maçon, qu'il brille par son absence sûr de l'impunité que lui garantit M. Jean Claude MARIN et Patrice DAVOST également du Parquet,

 

5.     Attendu qu'à l'audience du 22.06.2006, le tribunal a invité le représentant du Ministère Public à faire toute diligence auprès du Parquet de Toulouse afin que la citation puisse être délivrée,

 

6.     Attendu qu'à l'audience du 12.10.2006, le tribunal a constaté l'absence de délivrance de notre citation et une volonté délibérée du Parquet de s'y opposer malgré le jugement entrepris le 16.11.2006 rendant complices MM. MARIN et DAVOST qui se refusent à l'exécution de ce jugement véritable forfaiture faisant d'eux des délinquants et des criminels.

 

7.     Attendu que MM DAVOST et THEVENOT, dans un article intitulé "La face cachée de la justice toulousaine" dans Toulouse Enquête, M. DAVOST indique: "Il faut que les magistrats s'ouvrent, qu'ils montrent ce qu'ils font, sans se refermer sur eux-mêmes" il sait de quoi il parle longtemps Directeur  des services judiciaires au Ministère de la Justice indique le journaliste et il aura ici à déverrouiller un système encore trop nébuleux …Alors que M. THEVENOT, délégué USM,  indique da         ns le même article: "Nous travaillons sur du matériel informatique totalement dépassé datant des années 80" " la justice, de toute façon, c'est la cinquième roue du carrosse de l'  Etat" alors qu'ils en assurent le dysfonctionnement.

 

8.     Attendu qu'il nous est demandé de consigner  illégalement la somme de 500 € alors même que le tribunal n'est pas saisi à cette date du 15.01.2007 du fait du défaut de citation par le parquet de Paris,

 

9.     Attendu que de concert le délinquant huissier franc maçon CARSALADE refusera de délivrer notre citation et qu'il avoue s'en entretenir avec DAVOST sur une éventuelle incompétence territoriale les réunissant en association de malfaiteurs,

 

10.                       Attendu que THEVENOT a été muté le 15.01.2007 au TGI de Lyon

 

11.                       Attendu que par télécopie du 17.04.2007, il est demandé, une fois de plus, à M. MARIN Procureur de la République, de satisfaire au jugement entrepris le 16.11.2006,

 

12.                       Attendu que par télécopie du 06.08.2007, il a été demandé à MARIN la mise au rôle du tribunal correctionnel suite à sa carence par la non exécution du jugement entrepris le 16.11.2006,

 

13.                       Attendu que par télécopie du 27.08.2007, cette demande est réitérée,

Force est de constater qu'il n'en a rien été pour l'assurance de l'impunité du substitut THEVENOT qui a, déjà et encore,  échappé à la justice pénale dans une affaire de PEDOPHILIE AFFAIRE KAMAL …mais c’était sans compter sur nous qui avons stoppé la prescription grâce à la lecture du livre de M. Eric de MONTGOLFIER « Au devoir de vous déplaire ».

 

En conséquence,

La cour, à moins de se rendre ridicule et/ou à la solde des malfaiteurs en faisant échec à ce que notre cause soit entendue devant un tribunal impartial, n'aura d'autre solution que de prendre l'affaire en l'état et en l'absence du prévenu qui organise son impunité avec la complicité de MARIN et  DAVOST.

 

La condamnation de M. THEVENOT,  par votre arrêt rendu  par défaut,  contre lui, lui sera signifié et il pourra toujours y faire opposition qu'assurément M. MARIN, pour une fois,  se chargera de traiter.

 

L'inaction du MP est une INSULTE à la fois au  TRIBUNAL et à votre COUR

 

Que si, tel n'était pas le cas, votre chambre pourrait AUSSI renvoyer devant une autre chambre, par absence de probité,  car la loi pénale est d'interprétation stricte et, ne pas l'appliquer, par corporatisme déviant,  permettrait à un des vôtres de s'y  soustraire.

 

C’est pourquoi la cour devrait accéder à ma demande d’acte en l’expertise psychiatrique de MM THEVENOT,COMPLICE DU CRIME DE PEDOPHILIE DANS L’ AFFAIRE KAMAL , que couvrent MARIN ET DAVOST comme BARRAU et DAVOST ont couverts des crimes identiques sur TOULOUSE comme l’attestent les nombreuses pièces en notre possession et DRAEHER.

 

La particularité de ces couvertures est toujours liée à des crimes pervers commis sur des personnes vulnérables par des personnes VIP ou dépositaires de l’autorité publique qui ne paient jamais le juste prix pénal en pareille circonstance (HONTANG/CARLE/ CHENET/ CONSTANTIN/ JOUBREL/WARGNIEZ ET QUELQUES UNS DE TOULOUSE DE NOTRE CONNAISSANCE.

TOUS PLUS OU MOINS PROTEGES PAR CORPORATISME DEVIANT

La cour accédera à notre demande pour vérifier de la santé mentale de ces magistrats et les soustraire à la justice pénale si ils étaient reconnus irresponsables au moments des faits comme ZEMOUR.

 

AU FOND

 

Le jugement rendu le 18.01.2008 par la 17ème chambre correctionnelle du TGI de Paris est une véritable crapulerie, un faux en écriture publique

 

Ne pas nous permettre la saisine d’un tribunal pour couvrir à l’origine une affaire de pédophilie relève d’une République bananière.

 

PAR CES MOTIFS,

 

PLAISE A LA COUR

 

Qu'un procès public de M. THEVENOT François soit rendu possible alors même que tout avait  été mis en œuvre, par le CSM, pour qu'il échappe aux poursuites à la suite des graves délits commis par lui et son épouse ,dans une affaire de pédophilie liée à l'affaire KAMAL,  pour que la fille d'un avocat à la cour de cassation, décédé étrangement et de mort violente,  impliquée dans cette affaire échappe aux poursuites et qu'il a porté un grave discrédit sur la juridiction de Nice comme l'atteste le rapport de l'inspection des services judiciaires en notre possession qui rapporte les sanctions demandées à son encontre par M. BESTARD Gabriel Procureur Général.

 

Sur l'action publique

 

Renvoyer l’affaire pour qu’il soit statuer sur l’opposition de  APSN,

Condamner le prévenu THEVENOT à une peine pénale conforme à la nature des délits commis sauf s'il est jugé irresponsable par un psychiatre à savoir :

 

1.     Ordonner la suspension provisoire de son activité et demander sa révocation au CSM qui serait traitée par M. DAVOST spécialiste de la demande de révocation des magistrats pédophiles.

 

2.     Requérir la détention le placement sous mandat de dépôt du prévenu par application des articles 137 et suivants du CPP, seul moyen de mettre un terme au grave trouble à l'ordre public généré par l'infraction et de garantir la conservation des preuves, d'éviter toutes pressions contre les victimes et, même, vu les fonctions, éviter que ceux-ci n'abusent de leurs pouvoirs pour se voir accorder  l'impunité par des manœuvres scélérates.

 

Sur l'action civile

 

Condamner l'Agent Judiciaire du Trésor, au titre de la faute lourde de l'Etat, à verser à DEFENSE DES CITOYENS  la somme de 500000 € dont la moitié sera reversée à M. LABORIE André,

 

Condamner M. THEVENOT François à verser à l'Association DEFENSE DES CITOYENS la somme de 200000 € au titre des préjudices subis,

 

Condamner, in solidum, les prévenus au titre de l'article 475.1 du CPP à l somme de 10000 €

 

Ordonner l'exécution provisoire et la publication dans trois journaux au choix de l'Association DEFENSE DES CITOYENS.

 

Ce ne serait que justice car les français en ont marre des magistrats pervers CONSTANTIN JOUBREL HONTANG THEVENOT et autre sur TOULOUSE qui est accusé des frasques suivantes actées par un juge d'instruction:

 

« Vous me demandez pourquoi j’ai refusé ce client, c’est parce qu’il avait des exigences  particulières que je n’acceptais pas de satisfaire. Il m’a payé 500 Francs chacune des deux fois, il m’a demandé chacune des deux fois de l’attacher, de le frapper, de lui pisser dans la bouche. Je n’ai jamais fait ce genre de choses, je le lui ai dit, il était rouge, tout moite, il m’a même menacé la deuxième fois, il m’a insulté. Il n’au eu aucune prestation sexuelle finalement, il ne parvenait pas à avoir une érection, manifestement, sans ses fantasmes, il ne parvenait à rien dans ce domaine.

La parties civile

Son représentant légal

 

Le Président.

Claude KARSENTI