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Monsieur LABORIE André.                                                                                                                                                                                           Le 30 juillet 2014

N° 2 rue de la forge

31650 Saint Orens.

« Courrier transfert  »

Tél : 06-14-29-21-74.

Tél : 06-50-51-75-39

Mail : laboriandr@yahoo.fr

 

PS : « Actuellement le courrier est transféré suite à la violation du domicile en date du 27 mars 2008 par Monsieur TEULE Laurent,  domicile actuellement occupé par un tiers sans droit ni titre régulier soit Monsieur REVENU et Madame HACOUT) ». «  En attente d’expulsion »

 

 

 

 

                                  Monsieur Jean Claude MARIN

              Procureur Général,

                Chambre criminelle.

                Cours de Cassation.

               5 Quai de l’horloge

       75000 PARIS.

 

 

 

 

Lettre recommandée avec A.R :  N° 1 A 094 259 9960 9

 

FAX : 01-44-32-77-10. " Fichier PDF "

 

 

Objet : Demande d’intervention urgente.

 

 

            Monsieur le Procureur Général,

 

      Je sollicite de votre très haute bienveillance à prendre ma demande en considération.

 

Depuis février 2006, je n’ai plus droit à la justice, à la saisine d’un juge, d’un tribunal.

 

Alors que je suis au RSA, j’ai un obstacle permanant à l’octroi de l’aide juridictionnelle.

 

Quand bien même que j’ai pu obtenir l’aide juridictionnelle, l’ordre des avocats de Toulouse impliqué dans mes affaires se refuse de nommer un avocat.

 

Aucun avocat sur la juridiction toulousaine ne veut me défendre.

 

Soit l’impossibilité de saisir un quelconque juge, ces derniers agissants aussi solidairement pour que les faits que je dénonce ne soient pas sanctionnés, m’empêcher d’obtenir réparation sur les préjudices subis et faire valoir mon droit de propriété toujours établi au N° 2 rue de la forge 31650 Saint Orens.

 

Situation insupportable que je vis par trafic d’influence, corruption de certains notables toulousains pour faire obstacles à une procédure criminelle dont je me suis trouvé principale victime en 2006 par une détention arbitraire et suivie d’une tentative de spoliation de notre propriété par faux et usage de faux en écritures publiques, notre propriété à ce jour occupée sans droit ni titre et sans que le parquet de Toulouse veuille intervenir.

 

Il est à préciser que des actes notariés ont été effectués par faux et usages de faux sous le couvert d’un procureur ayant un lien direct de famille.

 

 

Que toutes mes plaintes adressées au procureur de la république sur Toulouse sont systématiquement classées sans suites ainsi que mes recours au procureur général de ladite juridiction.

 

Que toutes mes plaintes adressées au doyen des juges d’instruction sur Toulouse sont aussi systématiquement non instruite et suite au refus systématique à l’aide juridictionnelle alors que je suis victime de faits criminels et au RSA, situation financière étant les conséquences de telles voies de faits.

 

Qu’au vu d’une telle configuration le doyen des juge du T.G.I de PARIS a été saisi depuis 2007, ce dernier s’est refusé d’instruire les faits portés à sa connaissance et dont la juridiction toulousaine agissant comme ci-dessus.

 

Que la juridiction Parisienne saisie régulièrement, juridiction de notre république et suite à une partialité établie de celle de Toulouse.

 

Que celle-ci par trafic d’influence fait aussi obstacle à ce que mes plaintes et compléments de plaintes soient instruits au motif de l’incompétence territoriale.

 

Que dois-je faire Monsieur le Procureur Général.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comptant sur tout votre pouvoir en tant que chef hiérarchique de tous les parquets de France par l’indépendance de vos fonctions proclamées par madame TAUBIRA ministre de la justice.

 

Qu’au vu de cette situation :

 

Je vous prie de me communiquer la juridiction que je dois saisir pour déposer mes plaintes et avoir accès à un tribunal sachant que mon adresse est celle-ci-dessus en tête.

 

 

 

Je reste dans l’attente de vous lire.

 

Dans cette attente, je vous prie de croire, Monsieur Jean Claude MARIN Procureur Général, l’expression de mes salutations distinguées et de ma parfaite considération.

 

 

                                                                                                                                                                                                                                  Monsieur LABORIE André