PLAINTES RESTEES SOUS SILENCE DU PARQUET DE TOULOUSE.

 Représenté par Monsieur VALET Michel Procureur de la République.

 

 

 

Les différentes plaintes adressées directement ou indirectement par les services de police judiciaires ou de gendarmeries, au parquet de Toulouse représenté par Monsieur VALET Michel Procureur de la République en ses fonctions depuis mars 2008.

 

Plaintes toutes différentes par les différents auteurs et complices.

 

 

 

 

Le 12 mars 2008 : Plainte à Monsieur le commandant de la gendarmerie de Saint Orens à l’encontre des agissements de Madame D’ARAUJO épouse BABILE et de la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD à Toulouse et complices pour menace d’expulsion irrégulière et non fondée. ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 27 mars 2008 : Monsieur et Madame LABORIE se font expulsés de leur propriété, vol de tous leur meubles et objets, à la demande de Madame d’ARAUJO épouse BABILE alors que cette dernière ne pouvait être propriétaire, Monsieur et Madame LABORIE  étaient toujours propriétaires et le sont toujours, agissements de la SCP d’huissiers GARRIGUES et BALLUTEAUD à la demande de Madame D’ARAUJO épouse BABILE assisté de la gendarmerie de Saint Orens et par l’utilisation frauduleuse d’actes obtenus par escroquerie pendant la détention arbitraire de Monsieur LABORIE André, ce dernier privé de tous ses droits de défense.

 

Le 1er avril 2008 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République au T.G.I de Toulouse, concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités. ( restée sans réponse et sans suite )

 

Le 18 avril 2008 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République au T.G.I de Toulouse concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités. ( restée sans réponse et sans suite )

 

Le 6 mars 2009 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République «  Michel VALET » en lettre recommandée N° 1A 0272498058 3, concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 24 mars 2009 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République «  Michel VALET » en lettre recommandée N° 1A 027 039 5876 3, concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 28 mars 2009 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République «  Michel VALET » en lettre recommandée N° 1A 027 039 5879 4, concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 14 octobre 2009 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République «  Michel VALET » en lettre recommandée N° 1A 033 613 0034 5, concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 16 avril 2010 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République «  Michel VALET » en lettre recommandée N° 1A 040 917 7578 6, concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 20 avril 2010 : Plainte à la brigade financière de Toulouse en lettre recommandée N° 1 A 043 680 4779 0 et concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités. ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 27 mai 2010 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République «  Michel VALET » en lettre recommandée N° 1A 042 075 0790 4, concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 13 août 2010 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République «  Michel VALET » en lettre recommandée N° 1A 046 422 2891 4, concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 29 octobre 2010 : Rappel de plainte et de suivie envoyé en lettre recommandée N° 1 A 050 713 5520 2 à Monsieur ZAMPHIROFF vice  Procureur de la République de Toulouse et concernant la plainte du 20 avril 2010 déposée à la brigade financière de Toulouse. ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 14 avril 2011 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République «  Michel VALET » en lettre recommandée N° 1A 049 124 4550 8, concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 19 avril 2011 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République «  Michel VALET » en lettre recommandée N° 1A 049 124 4552 2, concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 20 mai 2011 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République «  Michel VALET » en lettre recommandée N° 1A 057 826 1921 1, concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 24 juin 2011 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République «  Michel VALET » en lettre recommandée N° 1A 058 769 4306 2, concernant les faits du 27 mars 2008 et des complicités ( restée sans réponse et sans suite ).

 

Le 24 août 2011 : Plainte à Monsieur le Procureur de la République «  Michel VALET » en lettre recommandée N° 1A 062 284 2087 3, concernant différents actes inscrits en faux intellectuels, faux en écritures publiques( qui sont restée sans réponse et sans suite ).

 

·       En date du 30 juillet 2008 dénoncé à Monsieur VALET Michel en sa personne Procureur de la République et concernant un procès verbal d’inscription de faux enregistré au greffe du T.G.I de Toulouse le 8 juillet 2008 sous la référence N° 08/00026 et contre un jugement de subrogation rendu le 29 juin 2006 par Monsieur CAVE Michel.

 

·       En date du 30 juillet 2008 dénoncé à Monsieur VALET Michel en sa personne Procureur de la République et concernant un procès verbal d’inscription de faux enregistré au greffe du T.G.I de Toulouse le 16 juillet 2008 sous la référence N° 08/00028 et contre une ordonnance d’expulsion rendue le 1er juin 2007 par Madame CARASSOU Aude

 

·       En date du 30 juillet 2008 dénoncé à Monsieur VALET Michel en sa personne Procureur de la République et concernant un procès verbal d’inscription de faux enregistré au greffe du T.G.I de Toulouse le 23 juillet 2008 sous la référence N° 08/00029 et contre des actes de la SCP d’huissiers GARRIGUES & BALUTEAUD à Toulouse.

 

·       En date du 30 juillet 2008 dénoncé à Monsieur VALET Michel en sa personne Procureur de la République et concernant un procès verbal d’inscription de faux enregistré au greffe du T.G.I de Toulouse le 8 juillet 2008 sous la référence N° 08/00027 et contre des actes notariés de Maître CHARRAS jean Luc Notaire à Toulouse effectués en date du 5 avril et 6 juin 2007.

 

·       En date du 24 août 2010 dénoncé à Monsieur GARRIGUES Hervé en sa personne, Procureur de la république adjoint et concernant un procés verbal d’inscription de faux enregistré au greffe du T.G.I de Toulouse le 9 août 2010 sous la référence N° 22/2010 et contre un acte notarié de Maître CHARRAS Jean Luc Notaire à Toulouse effectué en date du 22 septembre 2009.

 

 

DE TOUT CE QUI PRECEDE

 

 

De tout ce qui précède, Monsieur VALET Michel est bien le seul Procureur de la République de Toulouse ayant  l’autorité sur ses substituts,  ayant l’autorité sur les officiers de polices et de gendarmeries, ayant une influence directe sur les magistrats du sièges par les relations qui les unissent et sur Monsieur le Préfet de la Haute Garonne.

 

Au vu du classement sans suite systématique alors qu’existait un trouble et plusieurs troubles à l’ordre public, ce silence de Monsieur VALET Michel a favorisé certaines parties dénoncées dans les plaintes, à continuer dans leurs délits et à agir impunément à la loi, continuant de porter griefs aux intérêts de Monsieur et Madame LABORIE et agissant sous le couvert du parquet de Toulouse représenté depuis mars 2008 par Monsieur VALET Michel, qui se refuse d’intervenir pour faire cesser par tous les moyens à sa disposition les différents troubles dont sont victimes Monsieur et Madame LABORIE.

 

Le fait de favoriser une personne physique ou morale au cours d’une plainte portée à sa connaissance et que l’on sait exacte avec des faits établis à son encontre et qu’on se refuse en tant qu’une autorité publique de faire cesser un trouble à l’ordre public ou intervenir pour qu’ils ne se reproduisent ou s’aggravent en agissant sur le fondement de l’article 434-1 du code pénal, se rend complice de tels délits  sur le fondement de l’article 121-7 du code pénal.